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      Content: Domaine country daniel l'univers voyage voyages vancances gaspésie nouveau-brunswick nouvelle-écosse terre neuve ile-du-prince-édouard iles-de-la-madeleine photo image terre brunswick bateau traversé traversierStéphane Dion, affirme dans une lettre ouverte au premier ministre Harper, publiée dans nos pages éditoriales aujourd'hui, que la mission militaire canadienne à Kandahar, dans sa forme actuelle, doit prendre fin en février 2009. Dans l'amendement à la motion gouvernementale présentée mardi, les libéraux n'avaient pas été aussi catégoriques sur la date de la fin de la mission de combat. Ils avaient plutôt insisté sur la prolongation de la mission à Kandahar jusqu'en février 2011. M. Harper souhaite pour sa part que la mission soit prolongée, à certaines conditions, jusqu'en 2011, date à laquelle un réexamen de l'engagement canadien sera fait par le Parlement. Le message trop conciliant de M. Dion mardi a provoqué un certain mécontentement au sein de l'aile parlementaire de sa formation politique. Certains députés ont reproché à leur chef de ne pas insister davantage sur les différences entre sa proposition et celle des conservateurs, et de faire ainsi la part belle au premier ministre Harper. Dans sa lettre à ce dernier, le chef de l'opposition officielle établit catégoriquement cette fois que la "mission de combat canadienne à Kandahar doit changer après février 2009". Dès lors, l'accent doit être mis sur "des efforts diplomatiques plus vigoureux et plus disciplinés" ainsi que sur l'aide à la reconstruction du pays. M. Dion et les libéraux posent ainsi trois conditions à la poursuite de la mission au-delà de 2009, des conditions qui, dit-il, n'existent pas dans la motion gouvernementale inspirée du rapport Manley. Le chef libéral veut d'abord que l'OTAN assure la relève des 2500 soldats canadiens à Kandahar afin que ces derniers se consacrent, après février 2009, à la formation de l'armée et de la police afghanes, et à la surveillance des projets de reconstruction. "La mission doit avoir une fin", ajoute aussi Stéphane Dion. Il demande à M. Harper une date précise de retrait en 2011, une requête à laquelle le premier ministre a répondu vaguement hier, à la période des questions aux Communes. Enfin, M. Dion répète que la mission ne doit pas se limiter au seul volet militaire. "Nous devons équilibrer nos efforts entre défense, diplomatie et développement", écrit-il. Le chef libéral demande également au chef du gouvernement plus de transparence sur l'état de la mission, notamment lorsqu'il s'agit de protéger les prisonniers talibans contre la torture. Stéphane Dion promet enfin de poursuivre avec M. Harper le dialogue national sur l'Afghanistan au cours des prochaines semaines. L'OTAN en désarroi Pour l'OTAN, ces discussions et ces tergiversations n'annoncent rien de bon, si l'on en croit un article publié dans le Financial Times de Grande-Bretagne et signé par l'homme politique britannique et ancien représentant des Nations unies en Bosnie-Herzégovine, Paddy Ashdown. L'OTAN est en désarroi, soutient M. Ashdown, et nous faisons face en Afghanistan à "la possibilité réelle" de la défaite de la plus puissante alliance militaire de l'Histoire. Les insurgés islamistes continueront, dit-il, de gagner du terrain à moins que l'alliance ne décide de changer son approche. "Nous n'avons pas perdu en Afghanistan, écrit-il, mais nous perdrons si nous ne commençons pas à faire les choses différemment." Le sommet de l'OTAN à Bucarest en Roumanie du 2 au 4 avril prochains, où doit se rendre M. Harper, tentera de remettre de l'ordre dans la mission de la Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS) en Afghanistan. Le premier ministre, qui a déjà exigé de l'alliance 1000 hommes de plus dans le Sud ainsi que de nouveaux équipements, serait sans doute mal reçu dans la capitale roumaine s'il s'y présentait avec les nouvelles restrictions du plan libéral. La fragile cohésion de l'OTAN sur la mission afghane risquerait de voler en éclats. Si les libéraux et les conservateurs continuent de s'arc-bouter sur leurs positions respectives, l'impasse au Parlement sur la question afghane n'est pas à exclure. > Voir la lettre de Stéphane Dion publiée dans nos pages Forum en A21Depuis quatre saisons, l'auteure Chantal Cadieux s'ingénie à nous mystifier. Les fidèles de son téléroman Providence, dont le nombre augmente depuis le début et a franchi le cap du million, regardent cette saga familiale avec fascination et les yeux en points d'interrogation. Qui est le père de qui? La matriarche Édith (Monique Mercure) a-t-elle assassiné son mari Laurent? Au fait, est-il mort? L'auteure sourit au bout du fil. Et avoue: «J'ai beaucoup fait de fausses pistes. Sinon j'aurais fini depuis longtemps. Il faut constamment trouver des entourloupettes.» Et puis, le vrai fond: «J'aime ce qui n'est pas noir et blanc!» Et puis, elle est flexible notre Chantal et sensible aux réactions des téléspectateurs. «Dès le départ, dit-elle, les gens se sont doutés qu'Édith n'était pas la mère d'Helena. Alors, j'ai changé les indices!» Au dernier épisode mardi soir, plusieurs lectrices m'ont écrit pour me dire qu'elles avaient déduit que Louis, le nouveau chum perturbé d'Helena - mais elle les aime comme ça - était le quatrième enfant d'Édith et qu'elle l'a donné en adoption. C'est aussi ce que je pense. Le flash-back était clair. Il semble que le mystère sera quelque peu éclairci mardi soir prochain. Chantal Cadieux l'admet, ajoutant aussitôt que ce sera la version d'Édith, ce qu'elle a vécu et ressenti. Bref, on n'aura qu'un côté de la médaille. Et alors qu'un mystère du passé sera éclairci, on se rend compte que la nouvelle génération nous en amène d'autres. Le bébé laissé sur le paillasson de Maxime, le chum de Marie-Ève, est-il de lui, alors qu'il s'était protégé? On sait bien, ça peut arriver. Ce beau bébé blond qu'il a peut-être fait à une secrétaire, Kathleen (Jessica Malka), il l'aime déjà... Et sa mère est venue le reprendre sans explication sérieuse. Mystère. Et puis, le bébé de Solange est-il de son conjoint mort ou de son ancien mari Pierre? Parce que Pierre est le fils d'Édith et on sait que ces gens-là ont beaucoup folâtré. Son frère Bertrand n'est pas le père de sa première fille Marie-Ève. C'est Luc, le frère qui s'est expatrié au Mexique, qui l'est. Je demande à l'auteure si les filiations et les drames de Providence pourraient exister dans la vraie vie. «Des tas de gens m'ont raconté des choses autrement plus compliquées et incroyables. Je me retiens. Je veux que mon téléroman garde sa crédibilité et qu'il ne soit pas trop dramatique», répond-elle. Au départ, Chantal Cadieux croyait que Providence durerait deux ans. Et puis, le contrat a été prolongé par Radio-Canada. Elle avait décidé qu'Édith mourrait après le 26e épisode. Mais le public l'a tellement aimée, dit-elle, et l'actrice a tellement bien campé son rôle que l'auteure n'avait plus envie de la faire mourir. Il ne reste que quatre épisodes cette saison, et Mme Cadieux sait qu'il faut donner des explications. La cinquième année de Providence commencera en janvier 2009. Même les acteurs de la série sont parfois mêlés, dit-elle. Aujourd'hui, la production télé économise en tournant toutes les scènes d'un même lieu en même temps. Que les acteurs soient aussi décalés que nous n'est pas étonnant: sont-ils dans le premier épisode ou un autre? «J'aime quand ils sont perdus et mélangés eux-mêmes. Ainsi, ils ne «surjouent» pas, dit-elle. L'auteure tient des registres de tous les détails de sa saga. «J'ai des spectateurs qui savent au sou près le montant des dettes de jeu de Bertrand. Pas question que je me trompe!» Jeune, Chantal Cadieux regardait tous les téléromans et rêvait d'être comédienne. Et puis, elle a découvert qu'écrire était moins stressant: c'est elle la patronne de ses personnages, et elle aime cela. Mais il faut travailler vite. Et aussi, elle aime bien ne pas être une vedette connue. Cela empêche la grosse tête et laisse plus libre. Elle écrit chez elle dans le 450. Ses deux fils, toutefois, ont tenu des rôles. Son plus vieux, Alex, joue le fils de Valérie (Maude Guérin) dans Providence. Et son plus jeune a été Zach enfant dans le film C.R.A.Z.Y. Et rassurez-vous: ce sont bien ses enfants à elle. Aucun doute là-dessus. Spéciale Salvador demain à TV5 TV5 diffusera demain soir à 20h un Music-Hall et compagnie consacré à Henri Salvador où on le verra en compagnie de différents artistes, notamment Isabelle Boulay, Jean-Pierre Marielle et Gérard Darmon. On verra aussi des documents d'archives de la longue carrière de cet artiste si charmant. Patrick Sébastien anime. Et Salvador rigole.En janvier 2006, environ 600 exemplaires de À la hauteur de Grand Central Station... étaient en vente au Québec. Puis le livre d'Elizabeth Smart a été inscrit au Combat des livres. L'éditeur Les herbes rouges a décidé de le rééditer. Bonne idée. Au terme du Combat, les 1200 bouquins avaient été écoulés. En seulement trois semaines. L'ouvrage s'est même classé parmi les succès de librairie chez Renaud-Bray. Ce coup de pouce, cinq nouvelles oeuvres pourraient le recevoir cette année grâce au Combat des livres. La formule reste la même: cinq personnalités défendent chacune un livre de leur choix. L'échange dure une heure. Un livre est éliminé par émission. Le concours se poursuit entre les survivants le lendemain. Puis à la fin de la semaine, un gagnant est couronné. Les combattants 2008: Bernard Landry pour La concierge du Panthéon de Jacques Godbout, la comédienne Sophie Faucher pour La détresse et l'enchantement de Gabrielle Roy, le metteur en scène Serge Denoncourt pour Une saison dans la vie d'Emmanuel de Marie-Claire Blais, l'animatrice de radio Anne Lagacé-Dawson pour Le monde de Barney de Mordecai Richler et le journaliste et blogueur Nicolas Langelier pour La logeuse d'Éric Dupont. Des débats en vue Le polémiste de la rue Saint-Urbain contre l'ex-premier ministre péquiste? Peu après le début de la conférence de presse hier, le débat avait déjà commencé. «J'ai lu toute l'oeuvre de Richler dans ma jeunesse, assurait Bernard Landry. Sa contribution à la littérature québécoise est incontestable. C'est plutôt l'homme que je critique. Je suis révulsé que cet intellectuel de haut niveau n'ait jamais appris la langue nationale. C'est comme si un grand auteur mexicain refusait de parler espagnol. () Et son article dans le New Yorker (en 1991) est probablement le plus néfaste jamais publié pour le Québec.» «Non, ce sont ceux de Lionel Groulx», répliquait du tac au tac Anne Lagacé-Dawson, avant de souhaiter qu'on se concentre plus sur l'oeuvre que sur l'individu. De beaux débats en perspective. Car ces oeuvres, les débatteurs y sont profondément attachés. «Détresse et enchantement, c'est un testament de poète écrit par un phare. Et quel titre évocateur! Nos vies ne se résument-elles pas à ces deux mots?» lançait Sophie Faucher, en conférence téléphonique de Chibougamau. Même enthousiasme chez Serge Denoncourt.Selon une étude publiée par Patrimoine canadien, les librairies indépendantes perdent du terrain au Canada anglais au profit de puissantes chaînes qui occupent maintenant jusqu'à 67 pour cent du marché. Les ventes de livres sur Internet et par courrier sont exclues du calcul. Sur un marché où les ventes totales ont atteint 1,59 milliard $ en 2006, l'étude de Patrimoine canadien établit à 44 pour cent la part du marché pour la vente au détail de livres détenue par la chaîne nationale Indigo, qui exploite près de 200 points de vente au Canada, et à 20 pour cent, celle des libraires indépendantes. Au Québec, la part des chaînes Renaud-Bray et Archambault est aussi équivalente à 44 pour cent du marché de la vente au détail. Les chaînes de librairies ont ainsi vu leur part du marché croître au cours des dernières années, et l'acquisition de Chapters par Indigo en 2001 a accéléré un processus déjà bel et bien installé. Aujourd'hui, le quasi-monopole d'Indigo au Canada anglais entraîne les prix à la baisse, limite la distribution de certains titres et cause des difficultés à de nombreux petits libraires et éditeurs indépendants. Dans son rapport, Patrimoine canadien signale que les techniques de vente au rabais favorisées par les grandes chaînes pour des livres à succès pourraient avoir un effet néfaste sur la diffusion des auteurs canadiens, surtout soutenus par les librairies indépendantes. Outre les grandes chaînes, les magasins de vente au détail, comme Wal-Mart, Costco et autres géants, accaparent de plus en plus la vente de livres à succès au rabais. Par ailleurs, Patrimoine canadien évalue à 4 pour cent la part des livres maintenant vendus sur Internet, notamment par Amazon et les autres entreprises de vente en ligne.L’Irak est un pays du Moyen-Orient bordé par la Turquie au nord, l’Iran au nord et à l’est, le Koweït et l’Arabie Saoudite au sud, et la Jordanie et la Syrie à l’ouest. Au sud-est, l’Irak a une étroite façade sur le golfe Persique. Le pays se divise en trois zones géographiques : montagnes au nord et au nord-est, plaine au centre et au sud, et désert à l’ouest et au sud-ouest. Le nord-est de l’Irak est traversé par le Zagros, haute chaîne de montagnes qui s’étend de la Turquie au sud de l’Iran ; le point culminant du côté irakien est le Haji Ibrahim (3 600 m). Si la plupart des forêts de chênes d’autrefois ont disparu, la végétation demeure abondante : érables, aubépines, pistachiers et robustes plantes alpines notamment. C’est aussi dans cette région que se trouvent quelques-unes des plus grandes réserves pétrolières du pays. Au pied des montagnes s’étend une vaste plaine, arrosée par le Tigre et l’Euphrate, qui coulent de la Turquie et de la Syrie. Le bassin circonscrit par les deux fleuves renferme la plus grande partie des terres arables du pays. La section septentrionale est un plateau de prairies vallonnées au climat assez sec. Le relief de la section méridionale est plus plat, et le climat, plus humide ; on y trouve beaucoup de lacs ; c’est là que sont situées Bagdad et d’autres grandes villes. Au sud-est complètement, s’étend une région marécageuse dont la flore est composée de roseaux, d’atriplex, de renoncules et de joncs. Près du golfe Persique, le Tigre et l’Euphrate unissent leurs eaux pour former le Chatt al-Arab, un chenal liant le port de Bassorah à la côte. À l’ouest et au sud-ouest du pays s’étendent les déserts d’Anabar et d’Al-Hadjara, régions plates et rocailleuses à la végétation clairsemée (hélianthèmes, érodiums à feuilles de cygnes et silènes) ; on y trouve divers types de reptiles. Un nouveau cycle de croissance reprend chaque année à la saison des pluies, qui font renaître les lits asséchés des rivières (wadis). À l’extrémité méridionale du pays, entre l’Irak et l’Arabie Saoudite, se trouve une zone neutre, établie en 1975 afin de permettre aux nomades bédouins de circuler librement d’un pays à l’autre. Si la densité de la population dans certaines régions a réduit l’habitat des animaux et fait disparaître les fauves, hyènes, gazelles, chats sauvages et sangliers peuplent encore la plaine et la montagne. Mais l’Irak est surtout riche en oiseaux, notamment pigeons, perdrix, palmipèdes, échassiers et rapaces, dont le grand aigle blanc. Sous le climat irakien, les températures passent d’un extrême à l’autre. Les étés sont torrides, particulièrement dans les marais humides, près du golfe Persique, où des records de chaleur ont été enregistrés. À l’inverse, les hivers sont très froids, surtout en montagne dans le désert, la température nocturne descend facilement sous zéro." Ethnies "La plupart des Irakiens sont arabes, mais le pays compte aussi de nombreux autres groupes ethniques, le plus important étant celui des Kurdes, qui représentent plus de 20 % de la population, et dont la terre d’origine est la chaîne du Zagros. Parmi les autres minorités figurent Turkmènes, Assyriens, Arméniens, Farsis, Lurs, Juifs, Yézidis et Mandéens." Langues et communications "La langue officielle de l’Irak est l’arabe, dont on trouve de nombreux dialectes. La plupart des Irakiens parlent l’arabe moderne (qui est, à quelques nuances près, le même dans tout le Moyen-Orient) ou l’arabe irakien, qui est aussi parlé en Syrie, au Liban et dans certaines régions de Jordanie. Beaucoup peuvent aussi lire l’arabe classique, langue du Coran, le texte sacré islamique. L’arabe s’écrit de droite à gauche dans une calligraphie d’une grande fluidité. Après l’arabe, c’est le kurde – avec ses variétés dialectales – qui est la langue la plus parlée en Irak. Contrairement à l’arabe, le kurde est une langue indo-européenne, ce qui veut dire qu’il est relié, quoique de loin, au français. Les dialectes kurdes sont très différents les uns des autres : quelqu’un parlant le sorani, dans le nord-est de l’Irak, éprouvera des difficultés à comprendre le kurmandji, parlé ailleurs dans le nord. Le sorani est le dialecte utilisé dans les écoles kurdes et pour les documents officiels. Le kurde utilise l’alphabet arabe (excepté en Turquie, où l’on utilise l’alphabet romain). Les Irakiens d’origine assyrienne parlent le syriaque (ou assyrien), alors que les Turkmènes parlent turc. La plupart des Irakiens ayant fait des études ont l’anglais comme langue seconde ; l’anglais est la langue d’enseignement dans les universités. Comme dans la plupart des pays arabes, les Irakiens utilisent beaucoup la gestuelle dans la communication. Ainsi, hausser les sourcils et lever la tête légèrement vers l’arrière en faisant tsk-tsk veut dire « non ». Un hochement de tête de droite à gauche indique le manque de compréhension, et non le désaccord. Au cours d’une conversation, les amis ou membres de la famille du même sexe n’hésiteront pas à se toucher. De même, en public, les gens du même sexe s’embrasseront pour se saluer. Cependant, toute marque d’affection entre personnes de sexe opposé est déconseillée ; de même, les femmes doivent montrer du respect pour les hommes en public et ne pas les regarder droit dans les yeux." Religions "La religion officielle de l’Irak est l’islam. Il est pratiqué par près de 97 % de la population ; environ 60 % suivent le rite chiite, les autres étant de confession sunnite. Le pays compte aussi de petites minorités de Chrétiens, de Juifs et d’autres groupes religieux." Situation sanitaire "Le gouvernement irakien finance un système de soins de santé à l’occidentale, offrant des soins gratuits. Des soins privés sont aussi disponibles, mais ce sont surtout les mieux nantis qui les utilisent. Toutes les cliniques privées sont sujettes à la supervision gouvernementale. Avant la guerre du Golfe, les hôpitaux et les centres médicaux étaient bien équipés. Le gouvernement commanditait des programmes nationaux de vaccination qui diminuaient considérablement l’incidence de maladies infectieuses comme la diphtérie, la tuberculose et la rougeole. Toute une gamme de programmes sociaux étaient offerts, tels pensions de retraite, assurance chômage, congés de maternité et congés de maladies payés. Durant les années 1980, le gouvernement a développé le réseau hospitalier en construisant plus de trente nouveaux centres ; il a aussi encouragé l’accroissement du nombre de médecins, sans arriver cependant à corriger la pénurie chronique de personnel médical bien formé. La différence dans la qualité des soins offerts dans les villes et dans les zones rurales s’est creusée : en principe, les médecins formés aux frais de l’État devaient travailler douze ans dans le système de santé public, mais beaucoup refusaient les postes situés dans les campagnes. La guerre du Golfe et les sanctions économiques qui en ont découlé ont mis en péril tout le système de soins de santé de l’Irak et réduit la qualité de vie de ses habitants. De nombreux hôpitaux manquent désormais de médicaments et d’équipement médical adéquat, et leur approvisionnement en eau et en électricité est constamment interrompu. En dépit du programme Pétrole contre nourriture de l’ONU, l’Irak connaît de sérieuses pénuries de nourriture. Durant la dernière décennie, la détérioration des conditions sanitaires – notamment la contamination de l’eau – la malnutrition et le manque d’équipements médicaux ont causé une montée en flèche du taux de mortalité infantile, ainsi qu’une augmentation des troubles mentaux et des cas de maladies infectieuses telles que choléra, dysenterie, typhoïde et tuberculose. Plusieurs organisations humanitaires internationales fournissent de l’aide à Irak et travaillent sur place, mais il est difficile d’obtenir des données démographiques et sociales à jour en raison de l’instabilité du pays." Éducation "L’actuel système d’éducation de l’Irak fut mis sur pied par les Britanniques dans les années 1920. La fréquentation scolaire était alors très limitée, et lorsque l’Irak est devenu une république en 1958, seulement 20 % de la population savait lire et écrire. Ce chiffre a beaucoup augmenté depuis, grâce aux efforts du gouvernement qui a fait construire des écoles et encouragé les études. Le taux d’alphabétisation est plus élevé dans les grandes villes et chez les hommes. Du primaire à l’université, l’éducation est gratuite. L’école primaire (de 6 à 12 ans) est obligatoire et mixte. Certains enfants fréquentent aussi la maternelle. Depuis la guerre du Golfe, la fréquentation scolaire a cependant baissé. À la fin du cours primaire, les enfants doivent passer un examen pour entrer au cours secondaire. Peu d’écoles secondaires sont mixtes. Le programme est divisé en deux cycles de trois ans : un premier cycle d’études intermédiaires, suivi d’un cycle d’études préparatoires portant essentiellement sur les sciences et les lettres. Un examen sanctionne chaque cycle. Après leurs études secondaires, les élèves peuvent s’inscrire à l’une des huit universités du pays, à l’école normale ou dans un collège technique, où l’on enseigne entre autres le commerce et l’agriculture. La plupart des universités et collèges se trouvent dans les grandes villes, dont une majorité à Bagdad. L’école de médecine de l’Université de Bagdad a une excellente réputation, notamment pour ses laboratoires de recherche. L’Université Mustansiriya, fondée en 1234, est l’une des plus anciennes du monde arabe. À côté de leurs études, enfants et étudiants sont aussi nombreux à fréquenter l’école islamique (sharia), où ils étudient le Coran. Les écoles islamiques des villes d’Al Najak et de Karbala sont de grands centres d’études islamiques, qui attirent depuis toujours de nombreux savants." Culture "L’Irak a une riche tradition artistique qui remonte à l’Antiquité. Les récits babyloniens, assyriens et sumériens ont influencé nombre de textes ultérieurs, dont la Bible ; le grand poème épique sumérien Gilgamesh figure parmi les plus vieilles et les plus célèbres œuvres littéraires au monde. Lorsque les Arabes conquirent la région au VIIe siècle, ils apportèrent avec eux leur tradition poétique. Le monde occidental connaît surtout Les Contes des mille et une nuits, recueillis entre 1000 et 1500 apr. J.-C. Aujourd’hui encore, l’Irak a une communauté artistique très prolifique. Le Festival des Arts de Babylone, tenu depuis 1985 dans les ruines restaurées de l’ancienne cité, attire des artistes de renommée internationale. La participation a cependant souffert du contexte politique irakien. Né en 1918, Dhu al-Nun est considéré comme l’un des pionniers de la fiction irakienne moderne. Son roman Al-Duktur Ibrahim est un classique de la littérature irakienne. Parmi les autres écrivains connus, on citera les poètes Muhammad Mehdi El Jawahiri, Wafaa’ Abdul Razak et Lamia Abbas Amara. La poésie est aussi le mode d’expression littéraire traditionnel des Kurdes. Autrefois, la poésie kurde se transmettait oralement ; les œuvres atteignaient facilement cent vers. L’un des poèmes les plus connus est un poème épique du XVIIe siècle, Mem u Zin. Aujourd’hui, la poésie orale est consignée par écrit. Par ailleurs, une littérature moderne a vu le jour, notamment avec des auteurs tels Mawlawi, Piamerd et Goran, qui écrivent dans le dialecte sorani. De nombreux objets d’art irakiens se trouvent au Musée de Bagdad, et ailleurs dans le monde. Puisque le Coran interdit la représentation de figures humaines, l’art irakien tend, comme dans tous les pays islamiques, à être non figuratif, usant plutôt de formes géométriques et florales. Les Irakiens sont aussi des calligraphes talentueux. Les mosquées et les édifices publics sont souvent décorés de vers coraniques et de carreaux de céramique colorés. Les types de musique les plus populaires en Irak sont la musique traditionnelle bédouine, la musique arabe classique, la fusion arabo-occidentale et la musique pop occidentale. Les instruments de musique traditionnels sont l’oud, un luth arabe, le rebaba, un instrument à cordes dont on joue avec un archet, et le def, une sorte de tambourin. Le maqam est un type de musique classique connu dans le monde entier. Son système harmonique est semblable à celui de l’Occident ; mais comprend également des quarts de tons. Al Gobanchi et Yousif Omar sont des joueurs de magam bien connus." source: Irak (Projet des Profils culturels, Centre Anti-Racism, Multiculturalism and Native Issues (AMNI), Faculté de travail social, Université de Toronto, avec l'aide de Citoyenneté et Immigration Canada) (reproduction autorisée par le site d'origine)La Nouvelle Zélande pleure son héros. Affaibli par une pneumonie, Sir Edmund Hillary a été emporté par une crise cardiaque à son domicile d’Auckland vers 9h00 le vendredi 11 janvier 2008; il avait 88 ans. Bien sûr, Sir Hillary est connu dans le monde entier pour son formidable exploit sportif, mais il était beaucoup plus qu’un remarquable alpiniste. Il incarnait l’esprit Kiwi, cette simplicité, cette générosité et cet esprit d’aventure que j’aime tant chez ce peuple insulaire du bout du monde. Car la peur ne fait certes pas partie du décor en Nouvelle Zélande! Ce pays est le royaume des sports extrêmes et il n’est pas étonnant de trouver parmi ses citoyens des gens comme A J Hackett, l’inventeur du saut à l’élastique (bungee) ou Burt Munro, le célèbre motocycliste qui, à 68 ans, a éétabli le record du monde de vitesse sur terre avec une moto inférieure à 1000 cc! Les Kiwis sont audacieux et se défendent bec et ongles contre tout excès de prudence imposé par des lois ou des règlements. Pour eux, la vie même est un risque et on doit, sans hésiter, saisir toutes les occasions qu’elle nous présente en utilisant les talents qu’on a reçus. Sir Hillary en restera l’une des plus inoubliables illustrations. Edmund Hillary est né dans la région de Auckland le 20 juillet 1919. Il était le deuxième enfant de Gertrude, une institutrice, et de Percival Hillary. Ce dernier, un vétéran de la Première Guerre mondiale, était revenu de la bataille de Gallipoli plus affecté moralement que physiquement, d’où son caractère irascible. Pendant sa jeunesse, le jeune Hillary est souvent victime de l’intransigeance de son père, qu’il n’arrive jamais à satisfaire. De plus, en arrivant à l’école secondaire, il se fait humilier par un professeur d’éducation physique qui, voyant ses épaules tombantes et son dos courbé, le classe dans un groupe de «cas désespérés». L’alpiniste dira qu’il a passé toute sa vie à essayer de se prouver à lui-même qu’il n’était pas aussi moche qu’il se sentait, et que même les gens ordinaires peuvent accomplir des choses extraordinaires. Premières conquêtes dans les Alpes du Sud Enfant, Sir Ed s’endurcit les pieds et le caractère en parcourant pieds nus le kilomètre qui sépare sa résidence de l’école. Mais c’est à la fin de son cours secondaire, pendant une semaine de plein air au mont Ruapehu, que le jeune homme se découvre une passion pour la montagne. Pendant ses études supérieures, il se joint au club de randonneurs de l’université et passe ses fins de semaine dans le parc national de Waitakere Range. Faute d’intérêt, il abandonne son cours universitaire après deux ans et devient apiculteur comme son frère et son père qui possède plus de mille ruches. Cet emploi estival est idéal car il lui permet de pratiquer l’alpinisme en hiver. A 20 ans, pendant quelques jours de vacances dans l’île du Sud, il fait sa première véritable conquête, celle du mont Olivier dans les Alpes du Sud. Cette expérience, la plus belle de sa jeune existence, allait déterminer son avenir. Élevé par ses parents dans une religion nouvel âge prônant le pacifisme, Sir Hillary éprouve des problèmes de conscience au moment du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Heureusement pour lui, son travail d’apiculteur est jugé essentiel et le dispense de s’enrôler. Mais la menace japonaise dans le Pacifique et la conscription ont raison de ses penchants pacifistes et, en 1944, il rejoint l’armée de l’air de la Nouvelle Zélande. Il est basé aux îles Fidji et Solomon où il est épargné des horreurs de la guerre jusqu’à ce qu’il soit sévèrement brûlé dans un accident, mettant sa résistance physique à rude épreuve. De 1946 jusqu’à son premier voyage dans les Himalayas, Sir Hillary va conquérir tous les sommets dignes de ce nom dans les Alpes du Sud. Plusieurs de ces ascensions seront effectuées sous l’œil vigilant de son mentor Harry Ayres. De son propre aveu, il n’atteindra jamais la perfection technique de son professeur, mais il sera imprégné de sa philosophie d’escalade prudente et énergique. Il apprendra à lire la neige et la glace, cette science subtile que seule l’expérience peut enseigner. En 1949, il accompagne deux concitoyens dans les Alpes suisse et autrichienne, et deux ans plus tard, l’année où le Népal ouvre ses frontières aux alpinistes, il participe à la première expédition néo-zélandaise dans les Himalayas. Il se fait remarquer par les Britanniques qui l’invitent à faire partie d’une expédition de reconnaissance au mont Everest. Deux ans plus tard, plus précisément le 29 mai 1953, lors d’une autre expédition britannique, Edmund Hillary et le Sherpa Tenzing Norgay atteignent le sommet du monde, où ils ne s’attardent que quinze minutes avant de redescendre. C’est en retrouvant son équipier néo-zélandais George Lowe qu’il prononce cette phrase désormais célèbre: «Well George, we finally knocked the bastard off» («Nous avons finalement rayé cette bâtarde de la liste») au grand désespoir de sa mère! Cette boutade typique des joyeux Kiwis ne traduit pourtant pas l’immense respect que Sir Hillary vouait à l’Everest: «Nous n’avons pas conquis la montagne, a-t-il dit, elle s’est finalement inclinée». Réflexion en passant sur le culte de la performance J’aimerais ici ouvrir une petite parenthèse. Le culte de la performance individuelle n’a malheureusement pas épargné la conquête de la plus haute montagne du monde. Il fallait, pour satisfaire l’appétit des journalistes et des politiciens, savoir qui de Hillary ou de Tenzing avait foulé le sommet le premier. Le roi du Népal a déclaré que, selon Tenzing, c’est lui, le Sherpa, qui a eu cet honneur, alors que dans son livre Vue du sommet Sir Hillary affirme que c’est plutôt lui qui est arrivé le premier. Dans son autobiographie intitulée Man of Everest, Tenzing écrit que la montagne est trop précieuse pour mériter autre chose que la vérité, et il confirme les propos de Sir Ed. Cette controverse, qui est venue menacer l’amitié des deux hommes, n’est-elle pas d’une infinie tristesse? Car, enfin, les deux hommes s’étant encordés pour l’ascension, il fallait bien qu’il y en ait un qui soit devant l’autre! De plus, les deux ne pouvaient pas se tenir debout sur la même petite surface en même temps… Quel débat ridicule et regrettable qui vient assombrir un travail d’équipe aussi exceptionnel! Tenzing l’a bien exprimé: « Nous n’étions pas leader et suivant, nous étions partenaires»! Au sommet de l’Everest, Edmund Hillary était loin de se douter de ce qui l’attendait en redescendant! D’abord, sans même l’avoir consulté, la reine Elisabeth a décidé de le sacrer chevalier pour souligner l’exploit qui a été rendu public à la veille de son couronnement et qui constituait un heureux présage pour son règne. Cet homme simple qui avait horreur des titres devient soudainement «Sir» Edmund Hillary. Il continuera de signer simplement Ed Hillary, mais les Néo-Zélandais l’appelleront affectueusement «Sir Ed». C’est donc bien malgré lui qu’il devient un personnage public et influent. Mais il conservera jusqu’à la fin cette grande simplicité et cette franchise qui lui ont mérité l’affection et le respect de ses compatriotes. La fondation de Himalayan Trust Après sa conquête de l’Everest, Sir Hillar Né en Franc
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